MARESCOT (Armand Samuel), général du génie, né à Tours en 1758, m. à Vendôme en 1832, prit part comme chef de bataillon au siége de Toulon, où il connut Bonaparte, avec lequel il eut de vives contestations, défendit Maubeuge en 1794, prit Charleroi, après avoir essuyé un échec devant cette ville; s’empara de Landrecies, de Maëstricht (nov. Après le 18 brumaire, le général Bonaparte, qui avait reçu de lui de nombreux services lorsqu’il n’était encore que simple lieutenant, le nomma secrétaire général des consuls, puis ministre secrétaire d’État, 1804. Il accompagna l’Empereur dans toutes ses campagnes, fut admis à ses plus secrètes délibérations et chargé de la rédaction de sas instructions et de ses bulletins. 1794), et fut après ce succès nommé général de division; défendit Landau et le fort de Kehl (1796), rendit en 1797 et 98 les plus grands services dans les armées de Rhin-et-Moselle et d’Allemagne, et fut nommé inspecteur général du génie après le 18 brumaire (1799). Il accompagna le général Dupont en Espagne, et eut le malheur de signer avec lui la capitulation de Baylen (1808) : il fut pour ce fait destitué, incarcéré trois ans, puis exilé à Tours
CAPELLA (Marcien), Marcianus Capella, écrivain latin du Ve siècle, était né à Madaure ou à Carthage et florissait vers 470. Il est auteur d’une petite encyclopédie intitulée Satiricon : cet ouvrage se compose de 9 livres, dont les deux premiers, intitulés Des noces de la Philologie et de Mercure, sont une espèce de roman philosophique servant d’introduction, et dont les sept autres traitent des sept arts libéraux, grammaire, dialectique, rhétorique, géométrie, arithmétique, astronomie, musique. Audit Beaumont, M. d’Estissac se mesla à la trope pour faire même voyage, accompaigné d’un jantil’home, d’un valet de chambre, d’un mullet, & à pied d’un muletier & deux lacquais, qui revenoit à nostre equipage pour faire à moitié la despense. Joliette (nom tiré de celui de Jules-César) : il est formé par une digue de 1220 m. de long, jetée en mer parallèlement à la côte, et par deux autres digues perpendiculaires à la précédente. Au Xe siècle il appartenait aux ducs de Gascogne; il entra en 1118 par mariage dans la maison des comtes de Bigorre et fut réuni au Béarn en 1256. Il fut acquis depuis par la maison de Lorraine et donna son nom à l’une des branches de cette famille. Néanmoins, elle conserva son indépendance et redevint bientôt florissante : elle eut des écoles fameuses sous l’empire et mérita d’être appelée la Nouvelle Athènes
Le dernier dimanche de janvier y est célébrée la Fête de la Truffe avec des démonstrations de cavage par des chiens dressés, la foire aux Truffes noires et blanches fraîches. Pour tout connaitre de la truffe vous pouvez visiter la Maison de la Truffe à Aups qui vous propose des activités autour de la dégustation de la truffe et de son histoire dans le Var. Deux passants eurent à peine le temps de l’empêcher de tomber et l’emportèrent à demi évanouie dans son appartement. Cette intéressante mêlée rend le bal de Sceaux plus piquant que ne le sont deux ou trois autres bals des environs de Paris, sur lesquels sa rotonde, la beauté du site et les agréments de son jardin lui donnent d’incontestables avantages. Vous pouvez utiliser du chocolat au lait, les truffes de Bourgogne seront plus crémeuses, mais elles seront beaucoup plus difficile à façonner. Chocolat noir fourrage à la truffe fantaisie et aux éclats de fèves de cacao caramélisés. Sept ans, plus tard, Mathez compte plus d’une quarantaine de recettes dont une singulière truffe pétillante, mais aussi de multiples références en chocolat noir ou blanc. Cette stérilisation permet également de pouvoir conserver ces brisures plus longtemps, sans être dépendant de la saisonnalité de la truffe fraîche
Nenni : de toutes façons, il sera aussi vain de tirer avec patience le fil de la pelote que d’escalader d’un bond l’Olympe d’une justice désacralisée; car l’aporie qui frappera la politique mondiale se révélera insoluble à la double école des cieux et du tic tac des horloges. OGHAM ou OGMIUS, dieu de l’éloquence et de la poésie chez les Gaulois, était représenté sous les traits d’un vieillard, armé d’un arc et d’une massue, attirant à lui nombre d’hommes par des filets d’ambre et d’or qui partaient de sa bouche. Si à l’orgueil des victoires son cœur avait vibré fortement pour Bonaparte, les vieux sentiments républicains, que ne perd jamais un Alsacien, s’étaient réveillés chez lui en 1848 : il présagea, dans le coup de force du président, la décadence de la France. Après Waterloo, où la charge de cavalerie lui passa sur le corps, il est licencié, refuse d’entrer dans la légion de gendarmerie du Bas-Rhin, est enfin incorporé au 34e de ligne et part pour l’Espagne. Et quand la France ne fut plus leur patrie, ils continuèrent, obscurs soldats de la Légion étrangère, à charger en Tunisie, au Tonkin, en Chine, au Tchad, au Maroc… » C’est parce que ces hommes ont servi la France qu’un Ihler, de Thann, digne petit-fils d’un général de la grande République, donne sa vie au Maroc pour la patrie